Laure Malécot ,Germaine Acogny

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Les Editions Vives Voix initient leur nouvelle collection, « Figures », consacrée aux grands personnages du Sénégal,  dirigée par Nayé A. Bathily, avec cette biographie de Germaine Acogny, richement illustrée.

 

Germaine Acogny, «mère de la danse contemporaine africaine», personnage incontournable de la culture sénégalaise et africaine, propage sa conception transversale de la danse, de la contemporanéité, du dialogue interculturel, donc, de l’Humanité.

Chorégraphe, danseuse, pédagogue, globe-trotter infatigable, Germaine Acogny incarne le courage, le talent, la persévérance et la dignité. En mettant en regard témoignages et photographies, Danser l’Humanité  éclaire son parcours et son œuvre qui fait sens avec l’Histoire, résonnant avec nos préoccupations contemporaines.

 

 

L’auteure,  Laure Malécot : journaliste culturel, scénariste, et réalisatrice française vivant entre le Sénégal et la Côte d’Ivoire depuis 2007, conclut avec ce livre un travail de plusieurs années, initié par la réalisation du documentaire « Iya tundé, la Mère est revenue » (52mn, 2017), aussi consacré à Germaine Acogny (streaming jusqu’au 30 /04/ 2019 : https://afrique.tv5monde.com/videos/iya-tunde-la-mere-est-revenue)

                « Je ne considère pas les frontières, mais plutôt les humains.  Nous, qui formons une formidable entité, l’Humanité, et ne cessons pourtant de nous entre-déchirer.
Grâce à ce travail sur Germaine Acogny, j’ai pu mettre en exergue certaines valeurs, certaines problématiques, qui me semblent cruciales et éclairent notre époque sombre d’un peu d’Humanité, à travers l’art et l’éducation. »

Site:http://www.lauremalecot.sitew.com/#LIVRE_GERMAINE_ACOGNY_DANSER_L_HUMANITE.H

 

Avec la participation de Mémoires Sonores, qui propose en fin d’ouvrage un lien vers un entretien exclusif avec Germaine Acogny.  Ce collectif a été créé par Laetitia Koslova, pour élargir l’usage du son seul :

« Le territoire sonore est un support de mémoire plus vivant qu’un album photos et plus intime qu’un film. Car le son libéré de l’image donne accès à une sincérité, à un essentiel, à ce qui fait que nous sommes des êtres humains ».

Site : http://memoires-sonores.com/